Au fil des (e)X (tweets) : argent, Emily, confessions, long, collection, Pivot…

Manuel Alduy @manuelalduy Il y a des gens qui commentent « l’ #argentpublic » dans le #cinéma, et il y a ceux qui analysent ce qu’il en est réellement. L’Observatoire Européen Audiovisuel du @coe vient de publier une analyse de 448 films européens de 2021. Et les résultats sont éloquents. En résumé, cette étude révèle que la France est le pays où le financement des diffuseurs est le plus élevé et où les financements publics le plus faible. Voilà voilà voilà.

Netflix France @NetflixFR Emily in Paris saison 4, partie 1 : le 15 août. Partie 2 : le 12 septembre.

Charline Vanhoenacker @Charlineaparis À force de passer plus de temps aux RH et à la PJ plutôt qu’à écrire des blagues, on va finir par donner raison à ceux qui disent que l’argent public est mal dépensé ! (Texte validé par mon avocat )

Julien Courbet @courbet_julien J’apprends avec bc de peine la disparition de Géraldine carre. Je l’ai rencontré en vacances nous avions parlé radio. À mon retour je lui ai confié la présentation de confessions intimes sur tf1, bc de classe, de recul, d’autodérision, d’humour. Repose en paix ma Gégé.

Brigitte Baronnet @BBaronnet 12 films sur 22 dépasseront les 2h cette année dans la compétition #Cannes2024 Le film le plus long dure 2h48 : The Seed of the sacred fig Viennent ensuite L’amour ouf de Gilles Lellouche (2h46) et Kinds of kindness de Lanthimos (2h44). Le plus court dure 1h20 (Hazanavicius)

Satellifacts @satellifax Le phénomène de fréquentation « Un p’tit truc en plus » de Artus @UGCcinemas Les Halles, seule salle du circuit où la réservation numérotée n’est pas disponible ce qui permet d’ajuster l’offre au jour le jour, est aujourd’hui dimanche dans la salle 1 (493 places et écran de 15 m), contre la salle 4 (194 places et écran de 11 m) hier samedi, et la salle 13 (94 places et écran de 8 m) vendredi.

Jean-François Guyot @JFGuyot Décès à 75 ans du journaliste Jacques #MERLINO, ancien présentateur et rédacteur en chef des JTs @Francetele 

Sébastien Marnier @sebmarnier C’est une folle collection et il n’en manque pas un seul (sauf invitations). Aujourd’hui j’ai rangé et classé 32 ans de tickets de cinéma. [photo]

Muriel Attal @MurielAttal #Paris2024 | Ce mercredi 8 mai @Francetele lance sa chaine 100 % olympique et paralympique : ⁦@FranceTV⁩ #Paris2024

Arcom @Arcom_fr Bernard Pivot nous a quittés. Il était un amoureux des livres et des lettres et un passeur de culture hors pair. « Apostrophes » et « Bouillon de culture » ont marqué des générations entières de téléspectateurs. Nos pensées vont à ses proches.
Rachida Dati @datirachida Bernard Pivot aura été un très grand ambassadeur du livre, un militant de la lecture pour tous. La disparition de cette grande figure culturelle est une perte pour le monde du livre et pour tous les Français.
Yves Jaeglé @yjaegle Bernard Pivot. Tous ces vendredis soirs. Nabokov Duras Simenon Kundera. Se rappeler des grands moments. De sa gourmandise de livres. De Modiano. De tant d’écrivains aujourd’hui oubliés. Il disait vous n’avez pas lu Stendhal ? Quelle chance c’est devant vous. Ne mépriser personne.
Delphine Ernotte Cunci @DelphineErnotte Nous perdons un gd homme de culture et de Tv. B. Pivot était un passeur de mots. D’Apostrophe à Bouillon de culture,il a transmis l’amour de la littérature à des générations de français. La TV publique doit bcp à cet amoureux des livres qui incarnait l’ambition culturelle fr.
Jean-Pierre Foucault @Foucault_JP Il a su nous faire aimer les livres, les écrivains ! Le bonheur de le regarder à la télévision…il nous rendait intelligent, nous mettait à sa portée. Merci Bernard Pivot !
Pierre Lescure @pierrelescure Des mercis par brassées, des souvenirs par milliers … - 1986 : l’interview biographie de Bernard Pivot | INA [video]
Bernard Pivot @bernardpivot1 [post de Bernard Pivot du 22 janvier 2016] L’habitude des radios de m’appeler à la mort d’un écrivain est si grande que, le jour où je mourrai, elles m’appelleront. 

Marie Sauvion @sauvionmarie Enfant, je trouvais que le plus beau métier du monde c’était « invité de Bernard Pivot ». Mon héros du vendredi, au XX^e siècle.

(Posts relevés le lundi 6 mai)